Bonjour,
sur un DS213j en DSM 4.2 avec 2 disques 3To en RAID1 nous avons rencontré le problème suivant :
1/ Volume 1 (ext4) passe en mode dégradé vraisemblablement suite à des multiples I/O error occurred on hard disk 1 (dans le journal des notifications) qui correspondent à des erreurs Bad sector at md2 disk1 sector XXXXXX has been corrected (journaux système)
2/ Accès via l'interface web possible
3/ Suite prise alimentation mal enfoncée (côté NAS) arrêt inopiné du DS213j
4/ Re-démarrage. Pendant un certain temps inaccessible (pas de ping). Ensuite (après environ 10/12 heures) quelques bips et voyants en erreur on accède à nouveau au NAS via l'interface web).
5/ Arrêt inopiné bis (toujours problème de câble d'alimentation mais côté transformateur cette fois-ci). Redémarrage moins laborieux que le précédent (1/2 heure environ) et nous sommes actuellement dans l'état suivant :
- bip régulier
- voyant disque 2 : vert
- voyant disque 1 : éteint
- voyant lan : vert clignotant -> on pingue le NAS c'est OK.
- voyant statut : ambre clignotant
- voyant alimentation bleu fixe
- inaccessible via le web :
l'écran d'identification s'affiche, saisie de login et mdp, on reste bloqué avec le message "Chargement ..."
ssh et ftp -> connexion refused MAIS je ne sais pas si les deux protocoles avaient été autorisés.
Impossible de l'éteindre : le voyant bleu clignote après l'avoir tenu enfoncé mais le NAS ne s'arrête pas
Maintenant se pose la question comment repartir proprement :
- acheter un dd (plus grand bien sûr), ça c'est en cours et c'est le plus simple
Ensuite :
stratégie 1 :
- a) éteindre, remplacer le DD, démarrer et espérer que le NAS démarre correctement et que l'interface web soit à nouveau accessible ?
- b) Si KO reset avec re-installation du DSM
stratégie 2 :
- reset avec re-installation du DSM, ensuite stratégie 1.a
stratégie 3 :
- si échec 1 et 2 : récupération disque dur 2 pour montage sur liveCD et diagnostic
------------
Le tout donne l'impression que la partition du DSM a été détériorée.
Que me conseillez-vous ?
Merci,
Emilio