CoolRaoul

Manip à ne faire qu'en connaissance de cause (CF mon message précédent) et donc sans aucune garantie de l'absence d'effet de bord pernicieux et non désiré.

C'est à toi de le faire en tant qu'initiateur du fil. Fait que tu passes en modification sur le premier post, puis passer en mode "éditeur complet" et la tu aura la possibilité d'éditer le titre.

Si tu es bien sur de toi, pourras-tu aller ajouter ce complément d'info en répondant à mon post original STP?

Solution ici:

Ok,ça je connaissais pas. Mais ç'est pas cool de m'avoir laissé patauger avec l'autre methode "authenticate.cgi". Vu que javais donné son nom des mon premier message, c'était plus simple de souligner qu'on ne parlait pas de la même chose.

Il suffit de vérifier avec une simple page php, tu constatera que authenticate.cgi ne permet pas de faire ce que tu dis: ça retourne juste soit le username connecté soit une chaine vide selon qu'on est *deja* connecté à DSM ou pas. Mais ne permet pas de valider compte/mot de passe. (A moins que tu fasse référence a une *autre* API, mais dans ce cas serait utile de donner un exemple) .

Je me suis mal exprimé un disant "utilisable uniquement": bien sur qu'elle est accessible de partout, puisque c'est un simple cgi, mais elle ne rend un résultat non null que si invoquée dans le contexte d'une session actuellement connectée à l'interface DSM (sur le port 5000 ou 5001). Dans le cas d'un site web perso, qui tourne dans le contexte de webstation le résultat de son appel sera toujours négatif (une chaîne vide)

En effet il est possible dans du code php ou autre via l'invocation de "/usr/syno/synoman/webman/modules/authenticate.cgi" de vérifier que le user est connecté ou pas à DSM et si oui de récupérer son nom de compte. Mais il me semble que c'est utilisable uniquement dans le cadre d'une page html/php d'un package et pas dans un site web local.

Pour cela faudrait que soit disponible sous DSM un module d'authentification apache s'appuyant sur "PAM" Ca à existé il y a un bout de temps mais le projet est abandonné: http://pam.sourceforge.net/mod_auth_pam/ Une autre approche, plus contraignante, serait de migrer les comptes DSM en LDAP (en installant le package serveur LDAP local) et s'appuyer sur le module Apache mod_authnz_ldap (qui lui est présent sous DSM) mais la ça va devenir carrément plus complexe (traduire: ne pas compter sur moi pour assurer le support de cette méthode )

Super, bon courage pour la suite alors. **EDIT*** et au passage merci de m'avoir fait découvrir la présence sur DSM de cette commande "exiv2" que j'ignorais

Je ne vois pas de raison pour cela, c'est le "find" qui assure le parcours je ne trouve pas de différence de fond avec mon code J'avoue découvrir cette commande ("exiv2") et j'ai utilisé son aide en ligne pour comprendre comment l'utiliser: fserv> exiv2 -h Usage: exiv2 [ options ] [ action ] file ... Manipulate the Exif metadata of images. Actions: /../ mv | rename Rename files and/or set file timestamps according to the Exif create timestamp. The filename format can be set with -r format, timestamp options are controlled with -t and -T.

Le test ([ ... ]) des shell sh, ash et bash ne tient pas compte des "*" et "?" et les traite comme des caractères normaux. Seul le korn shell (ksh) supporte cela, sous réserve d'utiliser le format étendu avec doubles crochets: [[ ... ]] et de sortir les caractères jokers des quotes.

La ca m'a l'air bon: #!/bin/ash PATH=/bin:/usr/bin:/usr/syno/bin # important si lancé en cron rep=~/tmp/A_Classer # /volume1/NetBackup/test/ LOG_FILE=/volume1/NetBackup/PhotoStation.rename.file.sh.log # creation fichier log si stdout n'est pas un tty [ -t 2 ] || exec > $LOG_FILE 2>&1 find "$rep" -name "*.jpg" ! -path "*/#recycle/*" ! -path "*/@*" | while read line do #on recupere le nom "court" du fichier filename=${line##*/} filename=${filename%.*} # recuperation de la date du fichier IFS=': ' set $(exiv2 -g Exif.Image.DateTime -Pv "$line") unset IFS year=$1 month=$2 day=$3 hour=$4 minute=$5 second=$6 # on test si le fichier porte deja un nom correct case $filename in "$1-$2-$3_$4-$5-$6"*) # le nom est OK echo "not renaming $line" >&2 ;; *) echo "renaming $line" >&2 exiv2 mv -fF -r "%Y-%m-%d_%H-%M-%S" "$line"; # essayer avec :parentname ;; esac done Notes: le "case" a la place du test ([ "$truc" -eq "machin" ]) car les wildcards ("*") ne sont pas supportés ici. affectation du PATH pour s'assurer de la visibilité de la commande "exiv2"

attend quelques minutes je teste les correction du script et je te montre ça

Ca c'est l'affectation de la variable "filename", moi c'est sur "fullfilename" que je me pose des questions, comment peut-elle prendre une valeur? Ensuite faudra que tu explique ce que tu veux faire par le test: if [$filename -ne "$1-$2-$3_$4-$5-$6*"] le "*" à l'intérieur des quotes va être interprété littéralement, pas comme un wildcard

Une variable shell n'apparait pas ainsi par miracle, elle doit bien être affectée quelque part et je ne vois rien dans la boucle "while" qui positionne le contenu de cette variable.

Je me demande de quel chapeau sort ce "fullfilename" De plus le formalisme ${nom%.*} est typiquement (et peut être exclusivement) Korn shell **edit** Au temps pour moi, je constate sur sa man page que ash (qui est le shell de DSM) connait ce formalisme. Mais reste ma question sur la variable "fullfilename"

A moins qu'il s'agisse d'un service gratuit, faudrait nous donner le nom de ton fournisseur. Un service de ce genre qui ne permet même pas de gérer librement ses sous domaines en leur affectant des IPs différentes est a fuir d'urgence.

Dans l'éditeur, pour coller, le faire via un simple Control-V ou shift+insert ne devrait pas poser de problème. Sinon, reste a envisager hypothèse de l'incompatibilité d'une extension du navigateur (type adblock) avec le code javascript de l'éditeur. Faudrait tester avec les extensions désactivées, et/ou un autre navigateur pour en avoir le cœur net

En plus de sauver les données, simultanément à de chaque job de sauvegarde est effectuée une sauvegarde des settings DSM (compte utilisateurs, partages, etc...). C'est la même chose que l'on trouve dans le panneau de configuration -> Mise à jour et restauration -> Sauvegarde de configuration. Ce de ça qu'il est question ici.

Dans la sauvegarde, "incrémentale" signifie simplement que chaque sauvegarde successive n'envoie vers la cible que les fichiers modifiés depuis la sauvegarde précédente, mais pas que ça gère les "versions de fichiers" Sous DSM, je ne connais pas de méthode native pour faire ce que tu veux (multiples versions) avec pour destination un serveur rsync. Il y a bien le backup "multi version" mais ça ne fonctionne que si la cible est un volume dédié sur le même NAS. TimeBackup () se rapproche un peu plus de ton besoin, mais je ne sais pas si il fonctionne à travers le réseau mais en tout cas pas avec un serveur autre que Synology comme cible.

Et bien, je ne comprend toujours pas le probleme! Les liens créés par DSM, meme si ça affiche "http", sont utilisables en http et https, et de toutes facon faut bien les copier/coller à la main pour les communiquer par mail ou autre, je me trompe? Suffit d'ajouter le "s" a ce moment la, c'est pas compliqué.

Décidément, j'ai du mal a capter aujourd'hui: je ne comprend pas non plus le sens de cette phrase (souligné) Pour résumer, lors de la création d'un lien de partage, DSM génère la partie *chemin* de l'url (ce qui suit le premier "/" simple dans l'url), et c'est celle-la qui fait foi pour accéder au fichier. Pour le host c'est celui configuré dans le panneau de configuration. Que s'affiche dans la fenêtre de dialogue et dans le gestionnaire de liens partagés "http" ou "https" ne change rien au fait que https *et* http fonctionnent tous deux. Je ne vois pas ou est le problème.

Je ne suis pas sur de comprendre ce que tu veux dire par "l'addresse n'est pas éditable". Puisque il s'agit de faire un copier/colller dans un mail Tu remplace "http" par "https" dans la version copiée et c'est bon! Ca reste affichée en "http" dans le gestionnaire de lien partagés mais bien évidemment les deux protocoles peuvent indistinctement être utilisés.

Pour ça, il suffit de mettre l'adresse externe dans le panneau de configuration DSM, accès externe, avancé, "nom d'hôte ou ip statique"