CoolRaoul

Ca peut avoir des effets de bords pervers: photostation est une appli web qui tourne sous le compte http, groupe http Si on manipule directement les photos, connecté sous un compte quelqonque, a partir du lien symbolique il y a un risque de se retrouver avec des droits sur les fichiers interdisant à photostation d'y accéder.

La solution que je préconise est de rendre le dossier "photo" accessible uniquement au compte admin et demander à l’utilisateur d'utiliser photostation en http à la place. Là il est possible attribuer des droits aussi finement que souhaité (par utilisateur ou groupe) dans les propriétés de chaque album (en étant connecté à photostation via un compte administrateur) Si cette approche ne convient pas, je laisse d’autres essayer de trouver une méthode s'appuyant sur une synchro de dossiers mas ça me semble aléatoire.

Ok je comprend mieux maintenant, c'est cette formulation qui m'a induit en erreur Car l'IP que "récupère" effectivement l'équipement distant est juste qu'une des IP du subnet l'intervalle déclaré sur le serveur: Alors qu'en fait il s'agit d'un problème de route et de passerelle coté client. De plus l'introduction "petit problème avec mon VPN (OpenVPN) installé sur mon DS212" laissait entendre que le problème était de ce coté (sur le NAS)

Je n'ai pas dit de ne *pas* utiliser DSPhoto: je présentais deux alternatives, et ce n'est qu'une des deux qui en excluait son utilisation. Dans ton cas, maintenant qu'on sait que tu utilises DSPhoto (on pouvait pas deviner) , alors il faut s'astreindre a manipuler les photos sur le NAS uniquement avec cet outil et Photostation. Et donc gérer les droits par utilisateur avec Photostation, et ne pas partager le dossier photo par d'autres mécanismes.

Tu fais une confusion entre un VPN *serveur* (le cas ici) et *client*. Peux-tu développer un peu ce que tu constates (et détailler ce que tu cherche à faire)? Le serveur VPN du NAS permet a un équipement distant d'utiliser la connexion (adsl ou autre) par laquelle passe le NAS en mode passerelle. Ca ne modifie pas l'IP publique

A mon avis, le dossier système "photo" devrait être utilisé uniquement si on utilise photostation/DSphoto pour gérer ses photos (et dans ce cas il faut alors utiliser exclusivement ces deux outils pour cet usage). A cause de cette contrainte, et comme tu l'as remarqué, la gestion des droits sur le dossier partagé "photo" souffre de limites qui le rend pas toujours adapté a son utilisation en partage direct (smb, ftp, nfs, dsfile, etc ...) Dans tous les autres me semble préférable de se créer un autre partages ("photos", au pluriel par exemple) et alors on bénéficiera de oute la souplesse et la puissance des ACLs pour gérer finement les droits.

C'est ce que je pense aussi Par curiosité je suis allé parcourir son manuel utilisateur (m'a l'air puissant au passage et puis un éditeur de texte dont la doc contient 49 fois le mot "emacs" ne peut pas être mauvais ) L'important, lors de la sauvegarde des fichiers scripts shell sur le NAS est de s'assurer que l'option "line breaks" soit bien positionnée à "Unix (LF)": et comme encoding prendre aussi UTF8 (sans "BOM")

En effet alors, c'est que mon hypothese serait pas la bonne (elles n'étaient pas sous Win7 avant au moins?) Tiens nous au courant NB dans les paramètres de la carte, sous windows, j'ai des options relatives au WOL aussi: Peut-être regarder de ce coté? Si le bios active le WOL mas que windows le désactive lors du shutdown ça peu expliquer..

/var/log/messages, avec la commande "logger" exemple: fserv> logger -p user.warn -t check_comm "perdu connexion internet" # et donc: fserv> tail -1 /var/log/messages Sep 12 12:04:02 fserv check_comm: perdu connexion internet

Le doute n'est plus permis alors: le problème est coté PC Ne serait-il pas sous Windows 8? Avec certains modèles de chips réseau, ce dernier à la mauvaise idée de désactiver de force le WOL alors même qu'il est activé dans le BIOS (vécu!). La solution étant de désactiver le "fast boot" mais on perd alors ce qui restait (à mon avis) le seul vrai progrès de Windows 8 par rapport à la génération précédente.

Non: il y a le "-print0" ! Pas compris à quoi correspond le ">&" Sinon, dans ce cas autant faire: exec >"$LOG_FILE" 2>&1 suivi de find "$rep" -iname 'Thumbs.db' -delete -print Mais ne pas oublier qu'initialement le "tee" était destiné a dupliquer les traces simultanément à l'écran et dans le fichier .log, ce n'est plus le cas là.

Faut changer d'approche alors puisque ni "find -delete" ni "rm" (celui de dsm en tout cas) ne sait logger ce qui est effacé. Donc retour à la methode "xargs" qui, lui, dispose de l'option "-t" (trace): find $rep -iname 'Thumbs.db' -print0 | xargs -0 -t rm

tu me vois perplexe

Alors là, c'est d'autant plus étrange qu'en l'état le log devrait être vide! Quelle est sa taille? Et sa date de modification est bien l'heure actuelle?

Encore heureux que "find" ne fonctionne pas en logique floue, son utilisation serait franchement risquée! (mais les "*" sont supportés dans "-name" par contre)

Ou mais là tu fait des "mv" de fichiers qui ont tous le même nom vers un répertoire unique, donc tu va quand même perdre des données (sauf le dernier traité) Non, c'était une faute de frappe. J'ai corrigé

Non, la je ne vois vraiment pas ce qui peux coincer (à part une erreur de frappe dans l'adresse mac)

J'avais même pas jeté un oeuil au contenu du bloc Pourquoi donc faire des "mv" plutôt que des rm? En outre, et une approche du style: find $rep -print0 -iname 'Thumbs.db' | xargs -0 rm serait bien plus efficace que des "-exec" **edit** Je m'apercois que le "find" de DSM supporte "-delete", donc: find $rep -iname 'Thumbs.db' -delete sera encore plus simple et efficace

Tu définis la variable LOG_FILE *dans* le sous-shell (la partie entre les parenthèses), son contenu est inconnu en dehors du bloc: ( ... ) Ceci devrait mieux marcher: LOG_FILE=.... ( ... ) | tee $LOG_FILE

#!/bin/ash PATH=/bin:/usr/bin site=${1:-www.free.fr} if ping -c 2 -w 5 $site >/dev/null 2>&1 ; then echo "OK" >&2 exit 0 else echo "KO" >&2 exit 1 fi la valeur "5" (-w 5) est le nombre de secondes au bout duquel ping retourne en erreur en cas de non réponse. "www.free.fr" est le site qui sera testé mais tu peux choisir autre chose (vérifier que le site en question répond au ping en temps normal). (son nom peut être aussi passé en paramètre à l'appel) le script (on va supposer qu'il a été nommé "check_comm.sh" et qu'il est accessible directement dans le PATH) peut être invoqué par un autre script comme suit: if check_comm.sh ; then .... else ... fi Et juste une question par curiosité: ton objectif est de faire quoi quand la connexion est "down".

Bon, chez Dedikam, non seulement le problème de hardlink n'est pas résolu mais je commence à penser qu'effectivement, comme l'a d'ailleurs fait délicatement remarquer "oges", leur support est effectivement "relou" vu comment ils continuent à me balader. Ils ont d'abord mis le temps pour reconnaître que ce problème était bien effectif en me demandant de patienter car lls n'avaient "pas encore de solution" tout en m'informant de l'existence de "pas mal de membres Dedikam utilisant les "hardlink". Et ce soir, après avoir à nouveau démontré un problème de ce coté je me vois répondre: "Notre FS ne prend pas en charge les hardlink" (elle est bien bonne celle-la!) Dommage, j'aime bien la démarche de leur offre mais la, ça commence à me gaver un peu. Je pense que je vais probablement laisser tomber, je perd confiance (et patience)

J'attend de voir un peu plus avant. Il semble que le problème de hardlinks soit partiellement résolu mais j'ai des répertoires étrangement surdimensionnés (d'apres un ls -ldh) . Une sauvegarde rsync incrémentale (rsync --link-dest=..) avec quasiment pas de modification consomme autant de quota que le répertoire de sauvegarde de référence. C'est un peu ennuyeux pour une offre facturée au l'espace disque occupé (même si le prix est particulièrement modique j'en conviens)

Je confirme sur le point "D" Petit bémol pour le point "E": DSM *est* un Linux qui permet déjà pas mal de chose nativement (et pour les plus aventureux on peut télécharger la toolchain officielle pour cross compiler à peu prés tout ce qu'on veut) Pour aller plus loin il y a le package "chroot Debian" de Diaoul ou on se retrouve avec une Debian complète, à la nuance pret qu'elle s'appuie sur le kernel DSM. Cependant, pour découvrir Linux, je ne peux que conseiller de s'installer sur son PC dans une machine virtuelle la distrib que l'on veut qui est à mon avis l'approche la plus confortable.

Pas besoin d'aller jusqu'à complètement le désactiver: juste ajouter une règle autorisant le port UDP 123 sera suffisant.